Lórellin est la plus vieille facette d'Hísilómë, et représente la vie. Elle possède uen chevelure étonnament longue, d'un noir aussi pur que l'ébène. Elle vit le jour suite à tout le bonheur qu'engendrait les naissances de tout les peuples, et grâce à l'espoir, gardait toujours un magnifique sourir sur son visage satiné. Elle profita pleinement de la vie, bien qu'imortelle,et répendait ce bonheur autour d'elle. Elle es la facette d'Hísilómë que les Histrions apprécient le plus, non pas pour sa signification, mais pour son aura de joie et de pureté qui leur proccure un bien incomparable. Suite à l'arrivée de la vie parmis Hísilómë, la mort ne se fit pas attendre. Ainsi Írissë rejoignit la Trinité à son tour, quelques dixaines d'années plus tard, pour perpétuer la roue de la vie qu'avait commencée Lórellin.
Un jour, à l’aube, un jeune homme au visage rongé par les pleurs apperçut la belle Lórellin. Celle-ci redonnais la vie à une petite biche mort-née et esquissa par la suite un ravissant sourire vers ce jeune Denoël. Le lendemain, au matin, il repassa par-là et comme il l’avait tant souhaité, il revit cette femme. Lórellin lui expliqua qui elle était, mais le beau Denoël n’en fit rien, qu’elle soit une divinité ou non ne lui importait guère. Ainsi, tous les matins, Denoël et Lórellin se rejoignirent au sommet du mont Céleste dans le désert de l’ancienne Romane de Terre d'Exil. De leur union charnelle naquit, quelques années plus tard, le jeune Histrie, l’un des ancêtres de Noriane et par conséquent également le premier membre de la longue lignée des Exarques. En l’honneur de ce jeune bambin, ils octroyèrent même un nom au peuple dans lequel Denoël avait demeuré jadis. "Histrion" fut celui qu’ils préférèrent pour sa signification dans le langage antique "nés du sang divin".